Observer et influencer les dynamiques de la myélinisation pourrait être plus efficace dans les lésions du cortex que dans celles de la substance blanche pour prévenir la neurodégénérescence de la SEP.

Le maintien d’un traitement de haute efficacité (THE) chez les patients SEP de 50 ans ou plus quand la maladie n’est pas active depuis un moment est discuté en raison de la baisse habituelle de l’activité chez le sujet plus âgé alors même que le risque d’effets secondaires augmente.

Søgaard et al. montrent l'intérêt des anticoagulants chez des patients fragiles ou âgés, et en montrent les limites devant le risque de complication hémorragique d'autant plus que le patient a présenté un AVC dans cet article paru dans Stroke en février.

Un risque de rechute dans la MOGAD en fonction de l’épitope ciblé par les anti-MOG ? La MOGAD est une pathologie associée aux anticorps anti-MOG. Leur présence est indispensable pour assurer le diagnostic. Certains patients avec une MOGAD ont une évolution monophasique, alors que d’autres patients présentent plusieurs poussées de la pathologie.

Les smartphones ont envahi notre quotidien et commencent à être utilisés dans le monde médical. Ainsi, l’Apple Watch permet la détection de fibrillation auriculaire. L’intégration de centrales inertielles dans les smartphones laissait espérer une utilisation courante dans la maladie de Parkinson, mais les applications actuellement disponibles sont peu satisfaisantes.

Comme le montrent différentes études, la stimulation cérébrale profonde du noyau sous-thalamique est un traitement bien établi des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson. Si la maladie se caractérise principalement par des symptômes moteurs tels que les tremblements, la rigidité et la bradykinésie, elle s'accompagne également d'une série de symptômes non moteurs.

Comme le montrent de nombreux travaux, les chutes sont fréquentes chez les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies neurologiques. En particulier, la maladie de Parkinson est connue pour son instabilité posturale qui entraîne des handicaps de mobilité, des chutes et une réduction de la qualité de vie. Or, la peur de tomber, une réaction naturelle à l'instabilité de l'équilibre, peut aggraver les problèmes de contrôle postural.

Le meilleur moyen de lutter contre les douleurs chroniques post-zostériennes serait probablement la vaccination. En effet, les résultats sont très satisfaisants en termes de prévention, mais avec quel impact sur le plan médico-économique ? Voici la question posée par les auteurs canadiens de cet article.

La douleur lombaire est très fréquente, mais peut être favorisée par de multiples mécanismes, nociceptif, neuropathique et/ou nociplastique. Identifier ces différentes composantes peut permettre de personnaliser le traitement de la personne souffrant de lombalgie.

Les traitements de l’ostéoporose pourraient contribuer à la réduction de la douleur. Cette étude recense les données de la littérature sur le soulagement de la douleur dans leurs indications usuelles.

Comme cela est largement documenté dans la littérature scientifique, le trouble du contrôle de l’impulsivité désigne une sorte de comportement addictif apparaissant notamment dans la maladie de Parkinson et induite par les thérapies dopaminergiques. Cependant, l’étiologie de ces troubles du contrôle de l’impulsivité n’est pas forcément très claire si l’on examine avec soin les publications portant sur le sujet.

Depuis 2005, la prise en charge standard des glioblastomes IDH-sauvages est celle du protocole dit de « Stupp » associant une radiochimiothérapie concomitante et une chimiothérapie adjuvante à base de témozolomide.